La «surveillance active» de la DGSI n’a pas empêché le passage à l’acte du tueur d’Arras

Comme les tueurs de «Charlie Hebdo», de Villejuif, de Magnanville, de Saint-Étienne-du-Rouvray, du marché de Noël de Strasbourg ou de la prison de Condé-sur-Sarthe, le terroriste du lycée d’Arras était connu et surveillé par la . En vain. Tentative d’explication.

mediapart.fr/journal/france/13

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InternetDev

@Mediapart
Et peut-être que l'Etat dirigé par ces cyniques est très satisfait qu'il y est des attentats?

Parce que comme s'en plaignent parfois les marchands de peurs, quand un attentat est déjoué, ça rapporte moins de voix. C'est d'ailleurs comme ça que se gavent tous les partis Marchand de Peurs.

Est-ce du Complotisme de l'imaginer ainsi, ou est-ce du Crédulitarsme (excès de crédulité) de ne jamais constater le cynisme des dirigeants assoiffés de pouvoirs et se foutant bien de la vérité ?

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Marcus Holloway

@Mediapart Houlà!
Attention!
Vous allez vous attirer les foudres de darmanin et enthoven, puisque pour eux "expliquer c'est déjà excuser"...

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Djeannot

@Mediapart
L'explication "on est dans un Etat de droit, on ne peut pas faire n'importe quoi" sonne bizarrement de nos jours.
Il est peut-être heureux que ces services de renseignements soient cadrés et occupés par des personnes ayant ce sens de la démocratie, mais on peut avoir des doutes quand on voit le traitement des gauchistes et écolos.
Ou alors les priorités politiques d'en haut perturbent tout.
C'est bien possible.

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