La «surveillance active» de la DGSI n’a pas empêché le passage à l’acte du tueur d’Arras

Comme les tueurs de «Charlie Hebdo», de Villejuif, de Magnanville, de Saint-Étienne-du-Rouvray, du marché de Noël de Strasbourg ou de la prison de Condé-sur-Sarthe, le terroriste du lycée d’Arras était connu et surveillé par la . En vain. Tentative d’explication.

mediapart.fr/journal/france/13

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