Après l’attentat d’Arras, le pouvoir parle fort pour couvrir les voix critiques

Sous pression de la droite et de l’extrême droite, le camp présidentiel veut montrer qu’il n’a pas «la main qui tremble» en matière de sécurité. Depuis le drame d’, l’Élysée et le gouvernement rivalisent de formules et de déclarations pour convaincre de leur fermeté. Au risque de se laisser aller à certaines dérives, voire d’enfreindre le droit international.

mediapart.fr/journal/france/16

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