Les manifestations pro-palestiniennes ne peuvent être interdites qu’au «cas par cas»

Sans suspendre le télégramme de , mais en regrettant sa «rédaction approximative», le Conseil d’État rappelle qu’il revient aux préfets (et pas au ministre) de se prononcer sur chaque manifestation déposée, en fonction des risques de trouble à l’ordre public et du contexte local.

mediapart.fr/journal/france/18

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