La BCE face à l’impensé de la boucle prix-profits

Avec retard , la européenne a admis que l’ était nourrie par l’augmentation inconsidérée des marges des entreprises. Sans en tirer les leçons: cette souligne en creux l’échec des politiques de concurrence, laissant aux groupes un pouvoir de marché exorbitant.

Par @Morangemediapart.fr/journal/economie-

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Rigo Wenning

@Mediapart @Morange ce qui n'est pas la faute de la BCE, mais la faute à la fiscalité d'entreprise aux pays bas.

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Les capsules du prof Lutz

@Mediapart extrait: « L’inflation se nourrit des imperfections de marché. Les banques centrales ont tardé à reconnaître l’existence de cette boucle prix-profits. C’est particulièrement vrai dans l’industrie, et notamment dans l’industrie agroalimentaire. La hausse des prix de production dépasse largement celle des prix des matières premières. Elle est portée par l’augmentation des marges »

Éric Dor, directeur des études économiques à IESEG

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Djeannot

@Mediapart @Morange
Pas comme si la doctrine dominante était passée de l'antitrust à l'idée perverse de "champions économiques nationaux" qui s'affrontent sur les marchés mondiaux, soutenus naïvement par des États qui les ont laissés prendre l'ascendant.

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