Usul. Violences d’extrême droite : un coupable aveuglement
Identitaires, nationalistes-révolutionnaires ou néonazis : les groupuscules d’extrême droite semblent de plus en plus structurés et organisés. Les effets de leur activisme commencent à se voir. De Callac (Côtes-d’Armor) à Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique), les maires reculent et abandonnent leurs projets de centre d’accueil pour les exilés.
Dans les rues des moyennes et grandes villes, leur présence est également plus visible qu’il y a dix ou vingt ans. Là aussi, les effets de cette présence sont concrets et les groupes militants de gauche doivent apprendre à composer avec cette menace pressante.
Que fait le gouvernement ? Il minimise, relativise et ne manque pas une occasion de renvoyer ces violences dos à dos avec celles observables en marge des manifestations contre la réforme des retraites. Qu’il y ait une croix celtique taguée sur le mur ou non, une vitre brisée, c’est une vitre brisée et il faut condamner toutes les violences.
Est-ce vraiment à la hauteur de la situation ? Usul est allé à l’émission « C ce soir », sur France 5, pour en parler et nous raconte ça dans cet épisode d’Ouvrez les Guillemets.
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