Thames Water: la nouvelle faillite du modèle de privatisation britannique

La compagnie privée d’ qui dessert Londres est au bord de l’effondrement. Grevée de , souffrant de sous-investissement chronique, elle a été dévastée par la cupidité de ses . Lors de sa en 1989, elle était censée devenir une des références néolibérales pour les . Qui va payer le désastre?

Par @Morangemediapart.fr/journal/internati

5
Share
Share on Mastodon
Share on Twitter
Share on Facebook
Share on Linkedin

@Mediapart @Morange les.geuux , as usual

0
1y
0
1y

@Mediapart @Morange C'est une vraie question ou c'est purement rhétorique ?

0
1y
Djeannot

@Mediapart @Morange
Les actionnaires d'abord, qu'on va mettre à zéro.
Puis l'idéal serait de ponctionner les héritiers de Madame Thatcher, qui n'ont peut-être pas encore remboursé à la Couronne le sauvetage lamentable lors du Paris Dakar.
Et s'il y a encore des besoins de financement, nationaliser à 1livre toutes les entreprises de l'île de Man, Jersey et Guernesey.
Certes c'est un fusil à un coup. Mais un beau coup.

0
1y
Emmanuel Lécharny

@Mediapart @Morange

C’est le bon « business model » pour l’état:

- tu privatises en vendant si possible cher

- t’attends que l’avidité des actionnaires siphonnent la boîte

- tu nationalises sans indemnité lors de la faillite

- tu remontes la boîte sur fonds publics en dépensant moins puisque tu ne rembourses pas les dettes

- goto 1 ;-)

Bon, au passage, les usagers et les créanciers l’ont bien profond, mais pour l’état, ça le fait!

0
1y
Replies