@Mediapart
Donc malgré 6 semaines de grève, l'actionnaire maintient sa décision de nommer un rédac chef d'ultra droite et les employés bénéficient, au mieux, d'une aide au départ.
Forcément.
Ils n'avaient pas les moyens de s'arrêter jusqu'à couler le journal, contrairement à Bolloré qui a désormais les mains libres, à défaut de propres, pour imposer ce qu'il veut et transformer un journal honnête en torchon à sa solde.
Comme pour ses autres médias.

0
Share
Share on Mastodon
Share on Twitter
Share on Facebook
Share on Linkedin
Replies