Du "Trop de réalité" d'Annie Le Brun au magnifique rêveur rêvé de Borges, Michel Eltchaninoff soulève des hypothèses qui méritent d'être étudiées sur l'élection de Javier Milei en Argentine : philomag.com/articles/largenti

@Mediapart y consacre aussi un dossier, ici par exemple : mediapart.fr/journal/internati et là celui de Romaric Godin sur le boulevard d'idées qu'ouvre le libertarianisme à l'extrême-droite : mediapart.fr/journal/internati

(et oui, Javier Milei en "punk anarchiste", ça fait mal.)

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Gilins3

@cmoreldarleux @Mediapart

Dans le @mdiplo on apprend que #Milei ce « maître en sexe tantrique » est le maître de mastiffs anglais clones de son premier chien dont Quatre d’entre eux portent le nom de ses économistes préférés : Murray, Robert, Lucas et Milton, pour Murray Rothbard, Robert Lucas et Milton Friedman.
: « En #Argentine, la droite rugit mais innove peu », par Anne-Dominique Correa (accès libre, octobre 2023) // monde-diplomatique.fr/66158

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Jacques Caplat

@cmoreldarleux @Mediapart

La formule selon laquelle "le libertarianisme ouvre un boulevard d'idées à l'extrême-droite" est problématique. Car elle suggère que le libertarianisme ne serait pas lui-même d'extrême-droite. Or bien sûr que si ! Il ne lui ouvre pas des idées : il en est !

Et non, ça n'a rien à voir avec l'anarchie : l'anarchie est basée sur "la propriété c'est le vol", le libertarianisme est basé sur "la propriété est le droit fondamental et absolu". C'est *diamétralement opposé* !

Il y a 2 extrême-droites.

L'extrême-droite autoritaire, appelé fascisme (culte du chef et mort aux faibles).

L'extrême-droite néolibérale, appelée libertarianisme (chacun pour soi et mort aux faibles).

Le libertarianisme EST d'extrême-droite. Consubstantiellement. Profondément. Ne pas le comprendre, c'est passer à côté de tout ce qui explique les ressorts et l'émergence du libertarianisme.

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