Frédéric Beigbeder: du «Gramsci de la branchitude» au boomer de la bataille culturelle

Longtemps considéré comme le dandy cool et impertinent de la vie littéraire française, a fini par sombrer dans les paniques morales de la droite réactionnaire. Défendant sa liberté contre la société, il pourfend désormais le «wokisme», redoute les féministes et déplore la «dictature de la bien-pensance».

mediapart.fr/journal/france/11

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🏳️‍⚧Shibanarchiste :verified:

@Mediapart Pour ma part il a toujours été un sale con :blobPikaNauseous:

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Teslagauss1884

@Mediapart ça toujours été un sale con
Mais GG à lui d'avoir lance un meetoo rien que sur sa gueule suite à son dernier etron livresque
Faut dire que c'est normal de se sentir menacer par le féminisme quand on est un prédateur

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@Mediapart

Opportunisme, cynisme (99f), et usurpation. Il fait la paire avec son frère Chaaarles.

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EricLN

@Mediapart il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis

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David Dufresne

@Mediapart Excellent portait (de fond). Même si, dès les années 1990, et sa revue NRV, il était évident que «Beig» ne pouvait être qu'un faux ami (on s'échangeait des lettres d'insultes 😊). Rien d'un dérive chez lui, une constante réac + ou - dissimulée. Et maintenant: plus du tout.

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Tanguy ⧓ Herrmann

@Mediapart impertinent, oui. Cool, jamais. Dandy, quand ça ? Écrivain ? Haha.

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