Il est donc impératif que les député·es rejettent les articles 1er et 2 du projet de loi #SREN. Sans cela, non seulement les mineur·es ne seront pas mieux protégé·es, mais la digue de l'anonymat en ligne, pourtant cruciale pour beaucoup, sauterait.
Il est donc impératif que les député·es rejettent les articles 1er et 2 du projet de loi #SREN. Sans cela, non seulement les mineur·es ne seront pas mieux protégé·es, mais la digue de l'anonymat en ligne, pourtant cruciale pour beaucoup, sauterait.