Il sous-entend que les messageries WhatsApp, Signal ou Telegram auraient pu servir à la préparation de l’attaque. Sans jamais étayer son hypothèse, Darmanin surfe surtout sur sa logique autoritaire : « si c’est confidentiel, c’est suspect », il faudrait donc y avoir accès.
Selon lui, c'est le droit français qui empêcherait que les entreprises donnent accès aux conversations. Or, ce n'est pas tant la loi qu'une impossibilité technique : le chiffrement de bout-en-bout est conçu pour que les entreprises elles-mêmes n'aient pas accès aux messages.
Il ferait mieux de mettre les budgets nécessaires à la surveillance de ceux qui sont détectés et nécessitent une surveillance.
On entend fréquemment (quasi tout le temps en fait) que l'individu malfaisant était connu, suivi, fiché, sur écoute, etc...avec l'aveu qu'à un moment, le suivi a été relâché, faute de temps et de moyens.
On entend aussi qu'un tel ou un tel est en prison mais connu pour son prosélytisme...qu'il arrive à continuer d'exercer de son lieu carcéral...???????
@LaQuadrature c'est bien pour cela qu'ils font des lois sans autoriser qui que ce soit aux nego