Mais c'est bel et bien une "directive générale" que les préfets appliquent consciencieusement : le droit de manifester n'existe plus, et c'est Macron et ses sponsors qui l'ont décidé.
Seule exception : les raclures néo-nazies, qui elles, ont non seulement conservé ce droit, mais sont même encouragées par les medias.