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« Je crois », me répondit-il, « qu’il est possible d’être terriblement seul sans pour autant s’en rendre compte. On confond promiscuité et intimité. C’est peut-être même pire quand on est dans cette situation, car on souffre de cette solitude sans savoir de quoi on souffre au juste. »
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« Je crois », me répondit-il, « qu’il est possible d’être terriblement seul sans pour autant s’en rendre compte. On confond promiscuité et intimité. C’est peut-être même pire quand on est dans cette situation, car on souffre de cette solitude sans savoir de quoi on souffre au juste. »
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« Je crois », me répondit-il, « qu’il est possible d’être terriblement seul sans pour autant s’en rendre compte. On confond promiscuité et intimité. C’est peut-être même pire quand on est dans cette situation, car on souffre de cette solitude sans savoir de quoi on souffre au juste. »
« Je crois », me répondit-il, « qu’il est possible d’être terriblement seul sans pour autant s’en rendre compte. On confond promiscuité et intimité. C’est peut-être même pire quand on est dans cette situation, car on souffre de cette solitude sans savoir de quoi on souffre au juste. »
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« L’ordinaire est le processus par lequel le merveilleux, sous prétexte qu’il se répète au quotidien, cesse de nous émerveiller. Ce n’est pas la merveille qui se désenchante, ce sont nos yeux qui, s’habitant à sa lumière, oublient de la regarder. »
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« L’ordinaire est le processus par lequel le merveilleux, sous prétexte qu’il se répète au quotidien, cesse de nous émerveiller. Ce n’est pas la merveille qui se désenchante, ce sont nos yeux qui, s’habitant à sa lumière, oublient de la regarder. »
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« L’ordinaire est le processus par lequel le merveilleux, sous prétexte qu’il se répète au quotidien, cesse de nous émerveiller. Ce n’est pas la merveille qui se désenchante, ce sont nos yeux qui, s’habitant à sa lumière, oublient de la regarder. »
« L’ordinaire est le processus par lequel le merveilleux, sous prétexte qu’il se répète au quotidien, cesse de nous émerveiller. Ce n’est pas la merveille qui se désenchante, ce sont nos yeux qui, s’habitant à sa lumière, oublient de la regarder. »